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Le Dictionnaire des plantes médicinales illustré par le timbre (12)

 Le Dictionnaire des plantes médicinales
illustré par le timbre (12)

Nous poursuivons la lettre P de l’album de Henri Bonnemain consacré aux plantes médicinales illustrées sur les timbres de tous les pays.

 


Uruguay
PASSIFLORE : Passiflora caerulea L., Passifloracées.

Originaire de l’Amérique tropicale et des Antilles, cette plante fournit des fleurs d’assez curieuse conformation, dans laquelle les Anciens botanistes croyaient reconnaitre les divers instruments de la Passion de Jésus-Christ. La fleur pentamère (très compliquée) est formée de 2 bractées, d’un calice à 5 sépales et d’une corolle à 5 pétales accompagnée d’une couronne de filaments disposés sur plusieurs rangs. On emploie la plante entière.
 
Propriétés thérapeutiques :

Sédatif du système nerveux dans certaines névralgies et insomnies. Des doses trop fortes peuvent provoquer une céphalée particulière, et même des troubles de la vision.

 
Uruguay

Argentine

Uruguay
 
Colombie
 
 

PATATE : Ipomoea batatas Lamk. , Convolvulacées.

La patate est un Liseron originaire de l’Amérique Méridionale et cultivé aux Antilles. Sa racine est tubérifère, allongée, charnue, à chair rouge , blanche ou jaune ; aussi sert-elle de nourriture aux Peuples d’Amérique. Elle renferme 45% d’amidon, 10 à 20% de glucides, 4% de protéines et 5 à 6% de cendres par rapport au poids sec. Ses feuilles sont d’excellents « épinard ». Elle vient difficilement dans notre climat. Dans quelques provinces, on donne vulgairement au Topinambour et surtout à la Pomme de terre le nom de Patate. La fécule de Patate, parfois désignée dans le commerce sous le nom d’Arrow-Root du Brésil est fournie par les tubercules radicaux de la Patate Douce.

Propriétés thérapeutiques :
La racine de la Patate sauvage est employée aux Etats-Unis contre la strangurie, la goutte, etc.


Vietnam du Nord
 
 


Roumanie

 

 


Nations Unis

 

 


U.R.S.S.
 


Nations Unis
PAVOT : Papaver somniferum L., Papavéracées. TOXIQUE.

Cette plante herbacée de 1 mètre à 1 mètre 30 de hauteur à tige assez grêle d’aspect, représente un des chapitres les plus importants de la Pharmacopée. Les capsules sont de forme et de dimensions variables selon les variétés. Leur usage n’est pas sans danger en raison de leur teneur variable en alcaloïdes.

OPIUM : L’opium est le suc extrait des capsules et épaissi par dessiccation à l’air libre. Seul le Pavot blanc (Papaver somniferum album) poussant en Orient fournit l’opium très riche en alcaloïdes. Des essais de récolté ont été tentés en Europe, en Algérie, dans l’Amérique du Nord et en Australie, mais plus dans un but d’expérimentation que comme objet de commerce. L’Opium s’obtient par incision des capsules de Pavot. Muni d’un couteau à 3 lames, l’ouvrier fait d’ordinaire cette opération le soir et pendant la nuit. Il doit éviter d’inciser trop profondément afin de ne pas percer la paroi capsulaire, sans quoi le latex coulerait à l’intérieur du fruit. Alors le suc s’écoule et se concrète en larmes à la surface de la capsule. Après évaporation d’une partie de l’eau, on obtient l’Opium se présentant sous l’aspect d’une pâte ferme, de coloration brune à odeur vireuse. Il contient de nombreux alcaloïdes dont les principaux sont : Morphine, Codéine, Narcéine, Narcotine, Papavérine, Thébaïne, Laudanosine, etc. Tous ces alcaloïdes ainsi que leurs dérivés1 sont toxiques.

Propriétés thérapeutiques :

Nombreuses indications qui ont comme règle générale : sédatif, calmant, hypnotique, etc. Intoxication aigüe : Chez un adulte, 1 g. à 1.5 g d’opium, 10 à 15 centigrammes de Morphine entraînent habituellement la mort si le sujet n’est pas intoxiqué. Sous l’effet de la drogue, le patient s’endort rapidement d’un sommeil irrésistible dont aucune excitation ne peut le tirer. Les pupilles rétrécies ne réagissent plus à la lumière. La respiration se ralentit. Pendant les pauses expiratoires, le malade se cyanose. Puis la respiration s’arrête et la mort survient. (1)    L’Héroïne est un dérivé de la Morphine.

 


Roumanie

 

 


Bulgarie

 

 


Hongrie

 

    


Pologne
 
Yougoslavie
 

D.O.R.
 
PELARGONIUM : Pelargonium, Géraniacées.

 

Herbes annuelles, rarement arbrisseaux ou arbres. Répandues dans toutes les contrées tempérées et subtropicales.

L’essence de Géranium est en réalité une essence de feuilles de Pélargonium. Elle est obtenue par distillation à la vapeur d’eau. A odeur agréable de rose, elle est plus fine en France qu’en Algérie dont l’essence est plus fine que celle de la Réunion.

Usages :

Cette essence est utilisée pour masquer les odeurs désagréables de certaines lotions ou pommades.

 

Togo

 
Roumanie
 
Monaco
 
 
Tunisie

Roumanie
 
Suisse
 

Salvador
 
 


Islande
PENSEE SAUVAGE : Viola tricolor arvensis, Violacées.

Cette espèce qui est la variété officinale, est une herbe annuelle à tige anguleuse. L’espèce habite l’Europe, la Sibérie et l’Amérique du Nord. Elle se récolte surtout dans les lieux sablonneux arides, et dans les champs moissonnés. On récolte soit les fleurs seules qui sont séchées comme celles de la Violette, soit la plante entière fleurie qu’on met en bouquets et qu’on fait sécher sur des cordes tendues dans un endroit aéré.

Les fleurs sont petites, à grand calice, nuancées de lilas et de jaune pâle.

Propriétés thérapeutiques :

Dépuratif, diurétique et diaphorétique, employé surtout en tisane (10 g. par litre) contre l’acné et les dartres. A haute dose, purgatif et même vomitif.

 
PENICILLINE. Penicillium notatum. Antibiotique d’origine fungique. Végétal inférieur.

Sous le nom de pénicilline, on désigne le produit de sécrétion du Penicillium notatum Westling, isolé en 1928 par Fleming qui avait observé la lyse de certaines colonies bactériennes au voisinage desquelles s’était développé le Penicillium et dont la préparation industrielle n’a été réalisée en grand qu’en 1948.

Préparation : Primitivement, on faisiat dans un milieu polyminéral et glucosé, la culture en surface  à 24°C du Penicillium notatum. On obtenait le maximum de culture ; quelques unités par centimètre cube. Actuellement, un progrès décisif a été réalisé  en utilisant des cultures en profondeur avec des souches sélectionnées, dans des milieux favorables à sa croissance (lactose et eau de trempage de maïs) additionnés d’éléments accélérateurs pouvant donner jusqu’à 500.000 U au cm3 dans des cuves ayant jusqu’à 50 000 litres de capacité. Les opérations de culture, de repiquage, d’aération et de soutirage des jus sont rigoureusement mesurées et doivent se faire à l’abri des contaminations.

L’extraction de la pénicilline est délicate en raison de la fragilité de la pénicilline ; elle se fait à basse température et à pH 2 au moyen de dissolvants organiques. Puis on utilise une méthode d’épuisements successifs. Après concentration et purification, on évapore à basse température (-40°C) la solution concentrée. Cette préparation est rendue délicate par l’extrême fragilité de la pénicilline en solution et par l’existence d’une diastase, la pénicillinase, capable d’entraver son action. La pénicilline ainsi obtenue est transformée en « sels » couramment utilisés en thérapeutique.

 

 
 

 

On prépare en France une pénicilline G très pure, cristallisée, blanche, de haute activité et thermo-stable. Sa perte d’activité est inférieure à 10% après chauffage à 100°C pendant 4 jours. Répartie en flacons stériles renfermant : 100 000, 200 000, 500 000, 1 million et 5 millions d’unités, son activité se maintient jusqu’à 3 ans. Il a été établi que le champignon serait capable de sécréter 11 sortes de pénicillines  et que la pénicilline courante était constituée par un mélange de 4 pénicillines.

* Henri Bonnemain n’avait pas inclu de timbres sur la Pénicilline dans son album. Ces timbres proviennent des images accessibles sur Internet

 

 

 

       
 
PERCE-NEIGE : Galanthus nivalis L., Amaryllidacées. TOXIQUE.

Le Perce-neige est une espèce vivace que l’on rencontre dans les bois, les buissons, les prairies, les jardins, où elle épanouit ses felurs blanches vers la fin de l’hiver, en février-mars. Son bulbe globuleux, de la taille d’une noisette, produit un bulbe de remplacement et des caïeux qui assurent la multiplication de l’espèce. De ce bulbe sortent deux feuilles engainantes à la base. La hampe florale cylindrique, plus longue que les feuilles, peut atteindre 15 à 20 cm de hauteur et porte une fleur terminale et penchée.

 

Intoxication :  Le bulbe, confondu avec celui de ciboulette, a provoqué des accidents parfois graves : vomissements, céphalées, vertiges.

Propriétés thérapeutiques :

Le bulbe cru, de saveur amère, est un émétique.


 Bulgarie
 
Pologne
 
Roumanie
 
PIN et SAPIN :  Pinus sylvestris. Pinus Picea, etc. , Conifères.

Arbres éminemment résineux qui fournissent différentes substances à la Pharmacopée. Le Pin sauvage fournit ses bourgeons. D’une teinte brun-clair, ils sont ordinairement agglutinés par une résine qui souvent exsude à leur surface. Le Pin maritime donne la gemme et la térébenthine des Landes de Gascogne, desquelles on retire l’essence de térébenthine française, la colophane, etc.

Propriétés thérapeutiques :

Bourgeons : En infusion, décocté ou sirop dans les affections des bronches. Egalement diurétique.

Térébenthines (Planchon en cite 27 sortes). Dans le catarrhe pulmonaire, et les maladies des voies urinaires.

Essence de térébenthine : Utilisée en liniment, etc. C’est le contrepoison du Phosphore.

    

 
Etats Unis
 
Lichtenstein
   
Islande
 
Bulgarie
 
PISSENLIT : Taraxacum dens Leonis Desf., Composées.

Plante de taille variable à racine pivotante, sans tige à suc laiteux. Les tiges florifères sont simples et creuses. Les feuilles (pouvant atteindre 60 cm de longueur) toutes à la base, forment généralement une rosette assez fournie, profondément divisées, à lobes plus ou moins aigus ou seulement dentées. Cette espèce est très commune dans les prés, les chmaps, au bord des chemins, dans les lieux incultes et dans toute la France. Le Pissenlit récolté parmi ces milieux divers (peut) transmettre la douve du foie. Son nom français lui vient, dit-on, de sa vertu diurétique. Sur le plan médicinal, on emploie toutes les parties de la plante.

Propriétés thérapeutiques :

A) Allopathie : tonique, fondant, apéritif, employé surtout dans les obstructions viscérales.

B) Homéopathie : troubles hépatiques chroniues ou embarras gastriques avec nausées, céphalées, éructations amères. Etats bilieux avec ictère ou subictère.   

 

 
Islande
 
Bulgarie
 


Suisse
 
 
Chine
PIVOINE : Paeonia officinalis, Renonculacées.

Présentes à peu près dans tous les jardins, ces magnifiques fleurs printanières n’existent en France, à l’état suavage, que sur de très rares points du territoire. Les très grandes fleurs ordinairement rouges  sont assez semblables à d’énormes roses et dégagent parfois leur parfum.

Toxicité :

G. Bonnier déclare les pivoines nettement « vénéneuses ». Cazin les regarde simplement comme suspectes. Elles appartiennent, en effet, à une famille (Renonculacées) où abondent les plantes vénéneuses.

Propriétés thérapeutiques :

 

La racine, en infusion ou en décoction, est considérée comme un bon antispasmodique et sédatif. Elle peut calmer les toux rebelles, et chez les enfants les convulsions. 

 

 
Chine
 
Luxembourg
 


Chine
 
Chine
 
Roumanie
 

Autriche

 
POIVRE : Piper nigrum L., Pipéracées.

Liane à longue tige ligneuse portant des grappes de petits fruits globuleux. Le pays d’origine est la péninsule indienne. Introduit en Europe à la suite de l’expédition d’Alexandre aux Indes  (IVe siècle avant notre ère). de bonne heure, on connut la plante (540). Le poivre, lourdement imposé, était alors l’épice la plus estimée (Cher comme poivre, disait-on) ; le commerce en était concentré à Venise ; aucune drogue n’a peut-être joué dans l’Histoire un rôle comparable à celui du Poivre, car le désir d’accaparer un aussi fructueux commerce stimula Génois et Portugais dans la recherche d’une route de l’Inde ; c’est ainsi que Vasco de Gama, en 1498, doubla le Cap et atteignit l’Inde. Dès lors, malgré les guerres avec les pirates, le commere s’établit et le prix s’abisse. Les Portugais conservent le monopole jusqu’au XVIIIe siècle. Le poivre en grains est tr-s rarement falsifié. Le poivre en poudre  : aucune substance n’a été autant falsifiée. Les falsifications ne peuvent se révéler que sous le microscope ou par réactions chimiques.

Propriétés thérapeutiques :

Presque inusité en Médecine, le Poivre entre dans la formule des Pilules asiatiques (Codex 1884). Stimulant digestif et des muqueuses en général. Contre-indiqué par diverses inflammations, par les hémorroïdes, les dartres, la tuberculose.

 


Madagascar
 
 

 

U.R.S.S.
POMME DE TERRE : Solanum tuberosum L., Solanacées.

Actuellement connue de tous, la Pomme de terre était cultivée en Amérique du Sud bien avant sa découverte. Importée en Espagne vers 1695, elle le fut en France vers 1588. La culture en a produit 1600 à 1700 variétés depuis Parmentier qui en connaissait seulement 13…
Toxicité :

Presque toutes les parties de la plante, mais surtout les baies (de la taille d’une cerise, vert-jaunâtre, pouvant contenir jusqu’à 300 graines) contiennnent une forte proportion de solanine. Celle-ci est également présente dans les tubercules lorsqu’ils ont été verdis par la lumière. La solalnine, en dehors des parties vertes, est localisée sourtout dans la couche interne de l’épiderme et surtout les « yeux ». Les fleurs, les feuilles, peuvent de même produire des accidents. Les manifestations de l’intoxication se traduisent par : maux de tête, vomissements, coliques, malaises, vertiges, affaiblissement du pouls, etc.

Propriétés thérapeutiques :

Les parties vertes de la plante ont des propriétés (solanine) légèrement narcotiques et calmantes, utiles par conséquent dans les névralgies, les rhumatismes, etc… Les tubercules sont antiscorbutiques, diurétiques, émollients et calmants. La Pomme de terre s’applique également en cataplasme.  
 
Tchecoslovaquie
 
POTENTILLE : Potentilla anserina L. , Rosacées.

Ansérine vient du latin Anser, Oie, et signifie  : Herbe aux oies, soit parce qu’elle croît dans les lieux fréquentées par ces volatiles, où elle est souvent souillée de leurs déjections, soit parce qu’on la donne, hachée avec du son, aux jeunes oies. La Potentille ansérine se rencontre sur les places des villages fréquentées par les oies ou les moutons, aux environs des fumiers, le long des chemins, sur les bords des mares, des étangs, des fossés, sur les sols très fumés ou salés. Elle n’est rare que dans les régions méditerranéenne et en haute montagne. 

Propriétés thérapeutiques : 

Les feuilles et les racines sont astringentes par le tanin qu’elles renferment. Au cours de la campgane des Balkans, pendant la 1ère Guerre Mondiale, dans les épidémies de dysenterie, une fois passée la phase aigüe, l’Ansérine a permis de garantir rapidement les troupes des suites fâcheuses qui en sont la conséquence. L’Abbé Kneipp n’avait pas assez d’éloges pour la décoction d’Ansérine, racines, feuilles et fleurs, dans du lait, contre l’asthme, la coqueluche, et autres spasmes.   

 


Suisse
 
 
Finlande

Suisse
 
St Marin

Grande Bretagne

Yougoslavie
PRIMEVERE : Primulaveris Var. officinalis, Primulacées.

Le populaire Coucou abonde presque partout en France dans les prés, les pâturages, les clairières, etc… Il n’est rare que dans l’Ouest ou la région de l’Olivier. C’est une plante vivace de 10 à 30 cm., qui fleurit dès mars et jusqu’en mai. Ses fleurs fournissent aux abeilles un nectar abondant et d’autant plus recherché par elles que les fleurs sont encore rares à cette saison.
 
Propriétés thérapeutiques : 

Fleurs, feuilles séchées, racines, ont des propriétés : diurétique, sudorifique, laxative, calmante, anti-spasmodique et nettement expectorante et pectorale.  

 

Tchécoslovaquie

 
Bulgarie

Bulgarie

Autriche
 
PRUNELIER : Prunus spinosa L., Rosacées.

Les fleurs de cet arbrisseau répandu à la lisière des bois et des clairières, dans les haies, les rocailles, le long des chemins, des cours d’eau, etc… s’épanouissent dès le premier printemps, avant les feuilles, et forment un merveilleux décor neigeux aux paysages les moins pittoresques. Elles secrètent un abondant nectar et cependant sont peu visitées par les abeilles, peut-être en raison seulement de la saison peu favorable. Les fleurs de Prunellier sont souvent mélangées ou substituées à celles d’Aubépine. Elles sont plus petites, de coloration jaune plus foncé.

Propriétés thérapeutiques :

Les fleurs, en infusion ou en décoction sont dépuratives et laxatives. L’écorce de racine sous forme de décoction est un astringent. La teinture homéopathique préparée avec les fleurs à leur éclosion est utilisée contre le maux de tête, les colliques flatulentes, etc…

 


Yougoslavie
 
 


Kenya

 

 

PYRETHRE D’AFRIQUE : Anacylus pyrethrum DC., Composées.

On emploie la racine de cette espèce officinale qui nous vient surtout du Maroc et de Tunisie. Cette racine est grosse comme le doigt, longue de 8 à 10 cm, grise en dehors, blanchâtre en dedans. Quand elle est récente, elle possède une odeur assez forte, une saveur âcre, musquée, persistante, excitant la salivation. 

 Propriétés thérapeutiques :

Administrée sous forme de poudre, elle a des propriétés scialagogues (excitant de la sécrétion salivaire) et sternutatoires. Des fleurs, on extrait également des pyréthrines préconisées chez l’homme en usage interne, comme anthelmintique. Ces pyréthrines déterminent la paralysie des vers cascarisn taenias, oxyures) en provoquant leur expulsion. Elles paraissent par contre sans action sur les oeufs des parasites. Mais l’emploi le plus généralisé est la forme d’insecticide domestique (seulement toxique pour les animaux à sang froid). Détrôné par le D.D.T., son usage est devenu peu fréquent.  

 

 


Yougoslavie

 

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