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Laboratoire Galbrun

Histoire du Laboratoire Galbrun

 

 

A.Galbrun exploite à partir de 1872 une pharmacie 4 rue Beaurepaire à Paris, X° il met au point des spécialités contenant des solutions organiques de sels  combinées à de la peptone afin d’en faciliter l’assimilation: l’Iodalose, une solution organique d’Iode puis le Prosthénase, une solution organique de fer et manganèse, son fils Eugène lui succède.

A.Galbrun
E.Galbrun

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En 1910, il cède son officine  et s’installe 18 rue Oberkampf, Paris XI°, en 1922, le siège déménage   8 et 10 rue du Petit-Musc, Paris  IV° et la production 12 rue de la Fraternité  à Saint Mandé (qui sera rebaptisé rue Guynemer).

1932

 

 Après la Seconde guerre mondiale , le laboratoire ne réussit pas à renouveler son catalogue, il achète  en 1950 les Produits Catillon  qui apportent les granules  de Strophantine extrait du Strophantus Gratus  (Ouabaïne).

 

Médicaments commercialisés par GALBRUN en 1949-1950 (Le Livre du Praticien) :

Aristargol, Citronema, Iodalose Galbrun, Prosthénase Galbrun.

 

Ils sont absorbé  en 1960 par les laboratoires Beytout qui s’installe dans leur locaux de Saint Mandé.

 

Usine de Saint-mandé 1922
Usine de Saint-Mandé 1922

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sources:

L’Iodalose Galbrun, 1917

Eugène Galbrun, Thérapie physiologique, Prosthénase Galbrun, solution organique de fer et de manganèse combiné à de la peptone, entièrement assimilable, 1913

 

André Frogerais

7 juillet 2017

 

 

 

Cuves de production de l’Iodalose (1922)

 

 

 

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